Cavale

  • nicolas_comment_cavale_01
  • nicolas_comment_cavale_02
  • nicolas_comment_cavale_03
  • nicolas_comment_cavale_04
  • nicolas_comment_cavale_05
  • nicolas_comment_cavale_06
  • nicolas_comment_cavale_07
  • nicolas_comment_cavale_08
  • nicolas_comment_cavale_09
  • nicolas_comment_cavale_10

Deauville, la nuit, le jour.
Dans ce décor – un village de western – une femme passe.
Entre le Casino et l’hôtel Le Normandy, une Mustang, feux allumés, l’attend.
Toutes les mythologies de la ville se reflètent dans le rétroviseur.
Dérive psychogéographique, cavale polysémique…
Un polar se déroule face au Port d’Antifer et aux lumières du Havre.
Le vent marin essaime les pièces à conviction : cinquante trois photographies couleurs qui sont comme les cailloux du petit Poucet qu’un texte de l’auteur, cimente.

 

Photographe, auteur-compositeur, Nicolas Comment est un habitué des voyages sentimentaux et autres errances photobiographiques. Ses séries ont pour théâtre Mexico, Prague ou Tanger, ces lieux mythiques, antres littéraires… “Cavale” s’inscrit dans cette tradition de la « déambulation psychogéographique ». Balade géopolitique, fiction intime.

Nous sommes en 2019. Laura Serani, directrice artistique du festival Planche(s) Contact invite Nicolas Comment en résidence artistique à Deauville. Ainsi commence Cavale : une série photo-littéraire protéiforme qui se lit comme un tableau à entrées multiples contant la cavale imaginaire d’une femme qui se libère de ses liens.